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Automobile : pas de financement en ligne, pas de vente en ligne

Pendant les confinements successifs en Europe, les innovations se sont multipliées pour favoriser la vente à distance, plus de 10% des voitures sont désormais vendues en ligne en France

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Photos by Ali Yahyaon sur Unsplash

Malgré la crise du Covid-19 et ses effets dévastateurs sur le marché de l’emploi, il semblerait que le bonheur au travail reste une priorité pour de nombreux employeurs. Il est bien sûr naturel pour un humain de souhaiter le bonheur de ses congénères (n’est-ce pas ?!?). Mais d’après certaines études, le bonheur des salariés est aussi pour les employeurs la garantie d’une meilleure productivité. Par exemple, les employés qui se disent heureux au travail passeraient 10 fois moins de temps en congés maladie[(1)].

Alors qu’est-ce qui empêche de nombreux collaborateurs d’être heureux au travail ? Les caractéristiques d’un travail enrichissant diffèrent certainement d’une personne à une autre.

Toutefois, les tâches répétitives et l’utilisation d’outils avec une interface utilisateur non adaptée n’aident certainement pas. Par exemple, pensez-vous que télécharger plusieurs fois la même pièce d’identité d’un client et entrer le même numéro de carte d’identité dans différents systèmes pour la même demande de crédit puisse rendre qui que ce soit heureux ?

Certaines startups proposent des réponses à ce problème dans leur domaine, comme le Français IPaidThat qui automatise la comptabilité.

90% des salariés sont chargés de tâches répétitives et ennuyeuses qui pourraient facilement être automatisées

D’après une étude de Snaplogic[(2)], ces taches qui comprennent la recherche, la saisie, le traitement, l’analyse, la compilation données à partir de nombreuses sources, coûtent en moyenne 19 jours par année et par employé. De nos jours, les institutions financières utilisent souvent plusieurs systèmes en parallèle, ce qui implique une multiplication des tâches répétitives. Dans le cas des métiers du crédit, cela signifie :

  1. Une perte de bonheur et de productivité pour les salariés
  2. Des retards, des parcours clients complexes et une diminution de la satisfaction clients (plus à ce propos ici)
  3. La multiplication des erreurs pouvant entrainer une augmentation non contrôlée des risques, une baisse de la rentabilité, ou même des amendes salées.

Les systèmes “legacy” résultent de 30 ans d’accumulation de briques hétéroclites

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Photos by Ali John Barkiple sur Unsplash

Bien entendu, les institutions financières ne complexifient pas les processus d’octroi de crédit et ne chargent pas les conseillers et analystes crédits de tâches pénibles intentionnellement. Mais au cours des dernières décennies, la réglementation et par conséquent les outils nécessaires pour accorder un simple crédit se sont dramatiquement complexifiés. Les obligations liées à la connaissance client (ou Know Your Customer - KYC), la lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement terrorisme, et l’affinement du scoring ont rendu les procédures de plus en plus complexes. En parallèle, les clients demandent plus de simplicité, de rapidité, et dans certains cas, des parcours 100% en ligne. Dans le financement B2B, la complexité a explosé, compte-tenu du nombre de documents et de la complexité des processus nécessaires à l’application des obligations en matière de connaissance client (Know Your Business), lutte contre le blanchiment de capitaux et approche par le risque.

Dans un effort louable pour faciliter le travail des salariés et de sécuriser les processus d’analyse et d’octroi de crédit, les manageurs des sociétés de financement ont ajouté de nombreuses briques à leurs systèmes d’informations. Dans le financement B2B, il n’est pas rare que plus 20 outils soient utilisés uniquement pour l’’entrée en relation et l’octroi de crédit.

Bien entendu, les conseillers et analystes crédit devraient utiliser leurs cerveaux pour accomplir des tâches ne pouvant être facilement automatisées, telles que comprendre la concurrence, construire des relations avec les clients, utiliser leurs connaissances et leur instinct pour prendre des décisions complexes... Au lieu de cela, leurs cerveaux sont mobilisés par l’entrée de multiples données, de multiples fois, dans de multiples systèmes, ou encore jongler avec des interfaces différentes et naviguer à travers des procédures complexes avec peu de guidage et d’automatisation.

La technologie existe, elle n’est juste pas intégrée

Aujourd’hui, et depuis un bon moment, la technologie aurait pu permettre d’automatiser de nombreuses taches pénibles, telles que vérifier la complétude et l’exactitude de documents clients, envoyer des relances, extraire des données de longs documents comme les liasses fiscales ou les relevés bancaires et en alimenter un outil de gestion de crédit, vérifier les crédits existants... Il y a de multiples solutions pour gérer la connaissance client, la lutte contre le blanchiment, l’analyse du risque crédit qui sont largement utilisées. Dans leur propre zone d’expertise, elles guident et aident l’utilisateur. Mais dans un processus aussi complexe et comportant autant d’étapes que le crédit, le manque d’intégration des données rend le tout assez cauchemardesque, d’où une difficulté à être heureux au travail !

Mettez fin au patchwork!

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Photos by Ali Tim Mossholder on Unsplash

Les changements dans la technologie, les attentes clients, la règlementation ont amené de nombreuses nouvelles solutions sur le marché et ce n’est pas fini, si on en croit le nombre et le montant des levées de fonds réalisées par les Fintechs et les Regtechs. Utiliser ces innovations est nécessaire pour des salariés, des clients et des investisseurs heureux !

Vous avez un système de management de crédits vieillissant et cela fait des années que vous y ajoutez régulièrement de nouvelles briques ? Vous savez ce que vous devriez faire

  1. S’assurer que tout le monde (clients, partenaires, salariés) partage la même donnée à tout moment. Les seules différences devraient être les droits d’accès et l’interface utilisateur.
  2. Repenser les process pour s’assurer qu’ils soient aussi dénués de complexité que possible, en automatisant tout ce qui peut l’être, notamment à l’aide d’un système de gestion de crédits sans coutures, et en connectant tous les systèmes périphériques via API pour assurer l’unicité et la synchronicité des données.

Non mais attendez, c’est ce que vous essayez de faire depuis des années, non ? Il est alors temps de vraiment vous demander si votre système actuel vous permettra de le faire un jour (même à un coût exorbitant). Des systèmes d’information complexes, inefficaces et difficiles à maintenir ne sont pas une fatalité, tout ce dont vous avez besoin est d’un système réellement unifié, nativement digital et pensé pour les API.


1. Snacknation 2019
2. SnapLogic, 2017

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